PEAU D’ÂNE – LA FÊTE EST FINIE

Les contes traversent les époques et évoluent en fonction des générations. Ils nous aident à mieux comprendre notre monde et éclairent des zones de silence. Ils nous épouvantent autant qu’ils nous consolent et Peau d’Âne en est un parfait exemple tant il a inspiré de versions différentes. Au départ et toujours, un papa, une maman, une petite fille, un âne et une fée, mais tout de même un papa qui souhaite épouser sa fille… Que nous raconterait Peau d’Âne aujourd’hui ? Grâce à l’écriture et l’humour cinglant de Marie Dilasser, transposés avec fantaisie et optimisme au plateau par Hélène Soulié, ce Peau d’Âne propose une nouvelle parole et nous encourage à prendre possession de notre corps et de nos vies. S’adressant aux enfants aussi bien qu’aux parents cette œuvre à double lecture « Peau d’Âne – La fête est finie » nous donne du courage et offre des perspectives nouvelles en phase avec notre époque.

Autour du spectacle 

Mercredi 20 novembre à 20 h Avec le Cinéville de Lorient

Diffusion du film Peau d’âne de Jacques Demy, suivi d’un échange avec Hélène Soulié, metteuse en scène du spectacle Peau d’âne – La fête est finie.

Mercredi 20 novembre à 15 h Avec la médiathèque de Port-Louis

Projection du documentaire Peau d’âne de Pierre Oscar Lévy et rencontre avec Hélène Soulié, la metteuse en scène.

Samedi 30 novembre à 15 h Rencontres et échanges autour des thématiques de la pièce .

Avec Dominique Thomas, présidente du CIDFF du Morbihan (Centre d’informations sur les droits des femmes et des familles)

La presse en parle

“La metteuse en scène Hélène Soulié et l’autrice Marie Dilasser démystifient le conte rendu célèbre par Perrault, par les Frères Grimm, déboulonnent l’Œdipe de Peau d’âne, offrent à l’héroïne les armes pour se reconstruire et condamnent le père incestueux aux tourments éternels.”

L’Œil d’Olivier 

“Il faut aller voir “Peau d’âne – La fête est finie”, non pas pour collectionner une énième version du conte, encore moins pour faire diversion aux urgences sociétales mais pour prendre plaisir à la vivacité et à la force créatrice, subversive et réflexive de ce théâtre tellement en phase avec la sensibilité des jeunes générations.”

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